Philosopher ensemble

Le café-philo

Le samedi 8 mars 2014, à Abondant (28), vingt-sept personnes étaient réunies autour de Filiberto Costantini pour réfléchir sur la passion. Sénèque, Descartes et Hegel, entre autres, ont été convoqués pour la circonstance...

Autour de Filiberto Costantini, l'intérêt s'est porté sur ce que nous dit l'architecture religieuse.

Sur le site de l'abbaye du Breuil-Benoît, à Marcilly-sur-Eure (27)

12. juin, 2013

Ce que nous dit l'architecture religieuse

Fort de son succès sur les ruines du Vieux-Château de Guainville (28), en juin 2012, le café-philo d'Abondant et sa trentaine de participants ont tenu à renouveler l'expérience le samedi 8 juin 2013. Cette fois, c'est le superbe site de l'abbaye du Breuil-Benoît qui a été choisi pour servir de point de départ à un thème très intéressant et adapté aux lieux : ce que nous dit l'architecture religieuse. Le travail de réflexion a consisté à établir un rapport entre les différentes fonctions de l'architecture comme se protéger des éléments naturels, déterminer un usage pratique et inclure une esthétique de l'absolu. La question centrale étant de savoir comment concilier ces trois fonctions avec le dogme religieux. (Retrouvez le dossier complet sous la rubrique : Architecture religieuse).

Le café-philo d'Abondant (28) se porte bien

23. mai, 2013

Le 24e café-philo d'Abondant s'est tenu le samedi 27 avril 2013, dans la grande salle du Conseil de la Mairie. Toujours sous la direction de la Commission culture représentée par Martine Gerbeaux et animé par Filiberto Costantini, les apprentis philosophes, une vingtaine au total, ont pu échanger leurs réflexions sur ce qui rend possible une action bienfaisante. La singularité du bonheur et l'effort personnel qu'il engage rendent la question de l'altruisme délicate, surtout au regard d'une nature personnelle dont la tendance première serait égocentrée et à l'opposé de toute entreprise de bienfaisance. Question psychologique donc, mais aussi morale et politique car produire les conditions d'un bonheur collectif exige de renoncer, en partie, à l'égoïsme plus naturel et plus spontané pour exercer une rationalité qui, loin de mépriser l'instinct, l'utilise et le dompte pour en extraire la sociabilité. Action seulement possible ? (Retrouvez un dossier plus complet sous la rubrique : Le bonheur).

Y a-t-il des vérités définitives ? (café-philo du samedi 2 février 2013).

Sommes-nous prisonniers du temps ? (café-philo su samedi 16 mars 2013).